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3 article(s) cite(nt) le village de Le Bouis, en Crozon |
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Coupeurs de goëmon crozonnais : condamnation au Tribunal. |
20/03/1897 |
n° 978 |
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Police correctionnelle. Tribunal de Châteaulin. |
Audience du 18 mars 1897.
[...]
— Comparaissent ensuite pour avoir coupé du goëmon en temps prohibé :
1° Moysan (Joseph), de Morgat ; 2° Moysan (Joseph-Marie), du Bouis; 3° Moulin (Louis), de Treflez; 4° Palud (Yves), du Bouis; 6° Palud (Pierre-Marie), du Bouis; 6° Guivarc'h (Pierre), du Bouis; 7° Guivarc'h (Joseph), du Bouis; 8° Moysan (Yves), de Tréflez; 9° Drévillon (Jean), de Morgat; 10° Drévillon (Pierre), de Tréflez; 11° Boussard (Jean), de Morgat; 12° Ménesguen (Laurent), de Morgat; 13° Béchennec (Alain), de Morgat;
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14° Kermel (Jean-Pierre), de Morgat; 15° Lescop (Pierre), de Treflez; 16° Guéguéniat (Joseph-Marie), de Kerbasguen; 16° Provost (François), de Kerbasguen, tous marins-pêcheurs de la commune de Crozon, et 17° Brusq (Gabriel), 18 ans, cultivateur à Kerguiliguy, en Plonévez Porzay.
Tous ces inculpés sont condamnés à 25 fr. d'amende, avec sursis, moins Joseph Moysan père, qui ne bénéficie pas de la loi Bérenger, ayant déjà subi une condamnation.
François Provost a été acquitté comme ayant agi sans discernement et remis à ses parents. |
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article issu de : Le Finistère (Quimper)
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Suicide au Bouis (Crozon). |
26/04/1902 |
n° 1039 |
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Gazette bretonne - Finistère |
Crozon. — Suicide. — Le cultivateur Yves R., 38 ans, du village de Bouis, s'est pendu dans son écurie, dimanche, vers deux heures de l'après-midi.
Comme depuis quelque temps il donnait des signes d'aliénation mentale, on le surveillait de près.
Dimanche son frère T., le voyant porter tranquillement une brassée de paille à l'écurie, crut pouvoir le quitter un moment, après lui avoir fait jeter une ficelle qu'il tenait à la main, et entra dans la maison pour causer avec sa belle-sœur.
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Celle-ci, prise d'un pressentiment, voulut se lever pour aller voir ce que faisait son mari. Son beau-frère l'en empêcha disant qu'il y allait lui-même.
En entrant dans l'écurie il trouva Yves pendu avec la ficelle qu'il avait reprise.
Il la coupa et alla prévenir sa belle-sœur. Celle-ci courut aussitôt dans la cour, mais en y arrivant elle tomba évanouie. Depuis ce moment elle est dangereusement malade.
Elle a cinq enfants dont l'aîné n'a que 13 ans et le plus jeune trois jours. |
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article issu de : Le Finistère (Quimper)
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Enquête ouverte autour d'un droit de passage au Bouis, en Crozon. |
07/11/1903 |
n° 1477 |
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Nouvelles départementales |
Crozon. — Bris de clôture. — M. Jean-Marie Sévellec, cultivateur à Rundaoulin, a constaté, dans la matinée du 31 Octobre, qu'une ouverture de 2 m. 50 avait été faite dans un talus clôturant un terrain lui appartenant. Il paraît que les habitants du village du Bouis, en Crozon, prétendent avoir à cet endroit un droit de passage pour se rendre à une fontaine située dans le champ du plaignant.
L'enquête de la gendarmerie n'a pu encore rien établir de précis à ce sujet.
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article issu de : L'action Libérale de Quimper
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